ETIENNE 94
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24/7/1994
DIÁRIO DE UMA DESCOBERTA - RELENDO ETIENNE GUILLÉ - KARMA E LUTA DE CLASSES
Lisboa, 24/7/1994 - Choses qui m'ont herté dans les textes de Etienne e dans les séminaires:
- «Chercher le sens de la vie»: c'est, nous disent, quelque chose qui arrivera seulement dans le final du final... Sera quelque chose qui nous devons chercher, mais sans espoir de le trouver dans les prochaines mois... La situation, pour moi, est très compliqué: parce que le sens de la vie est strictement necéssaire pour continuer a vivre. Mais il y a besoin de vivre, pour chercher de sens de la vie. Une souriante contradiction, peut etre une perversion. Le pire est qu'il y a beaucoup de perversions comme ça dans le chemin vibratoire. Un ajournement continuel. Le grand poète portugais Fernando Pessoa a dit: «L'homme, ce cadavre ajourné qui procrie». Nous sommes, avant et après la Gnose Vibratoire, des cadavres ajournés qui procrions (mal). Le sens de la vie: je le cherche au cours de mes 61 années. Et maintenant, j'ai tombé dans la Gnose Vibratoire pour entendre parler d'un autre ajournement. L'histoire se repète: les «calendas grecs»... L'ajournement après l'ajournement après... Etc.
PETITES DOUTES
- «Soi» c'est difficile de traduire au portugais. Quel est la liaison de «soi» avec «double», «être direct», «ego», «superego» e «id» - les 3 derniers du lexique freudien.
- La psicotherapie, selon l'indique Etienne (HECT, page 418), me semble tomber dans la psicanalise freudienne pure. Ou non?
- Existentiel c'est le même que incarné?
JE SUIS D'ACCORD, MAIS...
- Je suis d'accord avec tout ce qui dit Etienne sur cette societé de consommation: mais je suis pas d'acord avec le discours serein qu'il utilize. Parce que seulement une langage pornographique peut décrire la pornographie pure, qui est cette societé de la Bourse, de la Médecine, de l'Industrie Nucléaire, de la Publicité, de la Mort à Crédit (Boris Vian), du Confort hedoniste («Cauchemar climatisé», Henry Miller), du Coca-Cola, du Préservative elevé a symbole des relations humaines, des Antibiotiques (et donc de la sida), des Vacines (et donc de la SIDA), des Corticoides (et donc de la sida), du supreme ridicule des affaires bancaires,
- Je suis d'accord ( depuis la nuit des temps ) avec Etienne: l'éducation moderne étouffe les potentialités de l'être humain. Mais «l'éducation», tel qu'il existe dans le «struggle for life» qui nous est imposé, c'est ce qui donne aux gens la possibilité de travailler et de gagner la vie. (La perdre, como diz Etienne et moi aussi). Nous devons, donc, gagner la vie, a fin de la perdre. Nous devons perdre la vie (se suicider), a fin de la gagner. C'est compliqué, ça. Parce que le suicide est interdit dans les traditions egiptienne et juive (les deux traditions adoptés par la Gnose Vibratoire). Et c'est ça qui m'a produit des remparts insurmontables, construits pour me défendre des vampires, de tous les vampires de cette societé qui Etienne traite avec des paroles aussi douces... Les remparts - je supose - ne sont pas dans les gènes ni dans le Cosmos mais dans l'environnement socio-culturel, scolaire, familial, enfin, scientifique et technologique. Je rejète l'explication heréditaire, la dernière excuse de la médecine pour justifier ses crimes. Pourquoi, alors, placer dans le Cosmos ce qui est pure et simplement un produit de la terre, c'est à dire, de la merde? De la merde medical, par exemple. Les maladies de la Merde (de l'Entropie, de la Consommation, de la Pollution), qui sont la SIDA (qui n'existe pas), les maladies mentales et tous les maladies de dégénérescence biologique (apellées, très correctement, «maladies de la civilization»), n'ont rien a voir avec le Cosmos, heureusement pour le Cosmos. Le cosmos, d'ailleurs, vive bien sans nous. M'irrite profondement cette vision messianique de l'être humain pour «accomplir» le Cosmos... Le Cosmos vive bien sans nous, Bon Dieu! L'idée d'un Cosmos maligne, d'ailleurs, c'est quelque chose que m'irrite beaucoup. Et m'irrite plus encore quand les textes nous disent que cette dualité n'a rien a voir avec le bien et le mal. Mais je ne suis pas moi qui le dit...
- Irrita-me, em Etienne Guillé, a poetização do que, a meu ver, é uma tremenda e interminável chatice: a Eternidade. A avaliar por esta Efemeridade que temos, l'Éternité doive être une jolie chose...
- Afinal, conclui-se que os aliados de MAGA vão passar esta ponte do Milénio com muito menos dificuldades e tudo lhes será dado, do bom e do melhor! A poetização (mitificação) da procura do Graal irrita-me, portanto, pois é a poetização de mais uma interminável e grande Chatice.
- Como se diz Chatice em francês?
- Eu não pedi para vir a este mundo e irrita-me que me digam o contrário. Morar em Lisboa (que não pára), morar em Portugal (que não pára de nos chatiar), é suficiente degredo para que carmicamente estejamos pagos.
- Irrita-me que os textos venham dizer-me de que não existe karma, quando eu estava convencido que sim, após tantos anos de laborioso cepticismo
- Irrita-me saber que os egos que vejo à minha volta estejam mais protegidos do que eu das investidas das doenças cósmicas. Quer dizer: não ter pactuado nunca com a merda, afinal, só me deixa mais exposto às malandrices da merda. Porque é que a minha esquizofrenia tem que ser uma doença cósmica? Ela é apenas - je le sais - um produto acabado e perfeito deste ambiente onde estou metido, contra vontade, há 61 anos.
- Irrita-me a beatice que emana de certos textos, onde tudo parece harmonia sinfónica de contrários, para depois nunca nos ser explicado como nos podemos safar da chatice de uma doença como o Cancro. Que diabo! E devia ser proibido que um terapeuta, num seminário, me grite que tenho um cancro energético, só porque me irrita profundamente a estupidez humana
- Irrita-me ouvir dizer que os ruandeses mortos aos milhares, por exemplo, não vão ter a salvação assegurada, nem atingirão nunca o seu duplo CEC e CEE. Mas então que justiça e que verdade é esta? Se eles e todos os deserdados da terra, só porque o são, não têm garantido um lugar no Céu, então quem o vai ter? Que lei cósmica é esta? Ainda por cima, se não há karma ... Nós que estudamos Radiestesia num hotel de 5 estrelas é que vamos ter direito à salvação? Sem a lei do Karma, onde está essa tão famosa lei cósmica, essa tão famosa lei da eternidade, essa tão famosa lei da justiça e verdade?
- Irrita-me que se arrume a lei do karma, dizendo que pertence ao espaço-tempo linear. E vai daí, não é nesse que infelizmente estamos?
- É evidente que a Gnose Vibratória terá de nos dizer como é que, em termos de justiça e verdade, os iniciados, num hotel de 5 estrelas, estão ao abrigo da perdição e os abandonados de Deus - os proscritos - estão irremediavelmente e para sempre perdidos. Aliás, quando soube que Etienne tinha andado nas lutas estudantis e que tivera uma formação marxista, ele subiu 5 pontos na minha consideração: sem a noção de «luta de classes» acho que nunca entenderemos nada da Terra e muito menos do Céu.
- A classificação de «doenças cósmicas», irrita-me profundamente. Até porque, à excepção do Cancro, todas as outras doenças ditas cósmicas são doenças do sistema e particularmente do sistema médico, e da poluição, particularmente da poluição químico-medicamentosa (iatrogénese). Inventar doenças cósmicas a torto e a direito é igual à concepção teológica e medival da medicina moderna, que atribui as doenças a míticos e lendários vírus, ou a tenebrosas bactérias, ou à maldita hereditariedade, doenças que são apenas produto da estupidez (poluição mental) de médicos e medicina. Ora vamos lá! Ouvir dizer que esta medicina (química e sintomatológica) é preferível às medicinas alternativas, a pretexto de que há nelas muitos charlatães - não me parece pedagógico nem contribuir grandemente para a viragem do terceiro milénio.
***
24/7/1994
DIÁRIO DE UMA DESCOBERTA - RELENDO ETIENNE GUILLÉ - KARMA E LUTA DE CLASSES
Lisboa, 24/7/1994 - Choses qui m'ont herté dans les textes de Etienne e dans les séminaires:
- «Chercher le sens de la vie»: c'est, nous disent, quelque chose qui arrivera seulement dans le final du final... Sera quelque chose qui nous devons chercher, mais sans espoir de le trouver dans les prochaines mois... La situation, pour moi, est très compliqué: parce que le sens de la vie est strictement necéssaire pour continuer a vivre. Mais il y a besoin de vivre, pour chercher de sens de la vie. Une souriante contradiction, peut etre une perversion. Le pire est qu'il y a beaucoup de perversions comme ça dans le chemin vibratoire. Un ajournement continuel. Le grand poète portugais Fernando Pessoa a dit: «L'homme, ce cadavre ajourné qui procrie». Nous sommes, avant et après la Gnose Vibratoire, des cadavres ajournés qui procrions (mal). Le sens de la vie: je le cherche au cours de mes 61 années. Et maintenant, j'ai tombé dans la Gnose Vibratoire pour entendre parler d'un autre ajournement. L'histoire se repète: les «calendas grecs»... L'ajournement après l'ajournement après... Etc.
PETITES DOUTES
- «Soi» c'est difficile de traduire au portugais. Quel est la liaison de «soi» avec «double», «être direct», «ego», «superego» e «id» - les 3 derniers du lexique freudien.
- La psicotherapie, selon l'indique Etienne (HECT, page 418), me semble tomber dans la psicanalise freudienne pure. Ou non?
- Existentiel c'est le même que incarné?
JE SUIS D'ACCORD, MAIS...
- Je suis d'accord avec tout ce qui dit Etienne sur cette societé de consommation: mais je suis pas d'acord avec le discours serein qu'il utilize. Parce que seulement une langage pornographique peut décrire la pornographie pure, qui est cette societé de la Bourse, de la Médecine, de l'Industrie Nucléaire, de la Publicité, de la Mort à Crédit (Boris Vian), du Confort hedoniste («Cauchemar climatisé», Henry Miller), du Coca-Cola, du Préservative elevé a symbole des relations humaines, des Antibiotiques (et donc de la sida), des Vacines (et donc de la SIDA), des Corticoides (et donc de la sida), du supreme ridicule des affaires bancaires,
- Je suis d'accord ( depuis la nuit des temps ) avec Etienne: l'éducation moderne étouffe les potentialités de l'être humain. Mais «l'éducation», tel qu'il existe dans le «struggle for life» qui nous est imposé, c'est ce qui donne aux gens la possibilité de travailler et de gagner la vie. (La perdre, como diz Etienne et moi aussi). Nous devons, donc, gagner la vie, a fin de la perdre. Nous devons perdre la vie (se suicider), a fin de la gagner. C'est compliqué, ça. Parce que le suicide est interdit dans les traditions egiptienne et juive (les deux traditions adoptés par la Gnose Vibratoire). Et c'est ça qui m'a produit des remparts insurmontables, construits pour me défendre des vampires, de tous les vampires de cette societé qui Etienne traite avec des paroles aussi douces... Les remparts - je supose - ne sont pas dans les gènes ni dans le Cosmos mais dans l'environnement socio-culturel, scolaire, familial, enfin, scientifique et technologique. Je rejète l'explication heréditaire, la dernière excuse de la médecine pour justifier ses crimes. Pourquoi, alors, placer dans le Cosmos ce qui est pure et simplement un produit de la terre, c'est à dire, de la merde? De la merde medical, par exemple. Les maladies de la Merde (de l'Entropie, de la Consommation, de la Pollution), qui sont la SIDA (qui n'existe pas), les maladies mentales et tous les maladies de dégénérescence biologique (apellées, très correctement, «maladies de la civilization»), n'ont rien a voir avec le Cosmos, heureusement pour le Cosmos. Le cosmos, d'ailleurs, vive bien sans nous. M'irrite profondement cette vision messianique de l'être humain pour «accomplir» le Cosmos... Le Cosmos vive bien sans nous, Bon Dieu! L'idée d'un Cosmos maligne, d'ailleurs, c'est quelque chose que m'irrite beaucoup. Et m'irrite plus encore quand les textes nous disent que cette dualité n'a rien a voir avec le bien et le mal. Mais je ne suis pas moi qui le dit...
- Irrita-me, em Etienne Guillé, a poetização do que, a meu ver, é uma tremenda e interminável chatice: a Eternidade. A avaliar por esta Efemeridade que temos, l'Éternité doive être une jolie chose...
- Afinal, conclui-se que os aliados de MAGA vão passar esta ponte do Milénio com muito menos dificuldades e tudo lhes será dado, do bom e do melhor! A poetização (mitificação) da procura do Graal irrita-me, portanto, pois é a poetização de mais uma interminável e grande Chatice.
- Como se diz Chatice em francês?
- Eu não pedi para vir a este mundo e irrita-me que me digam o contrário. Morar em Lisboa (que não pára), morar em Portugal (que não pára de nos chatiar), é suficiente degredo para que carmicamente estejamos pagos.
- Irrita-me que os textos venham dizer-me de que não existe karma, quando eu estava convencido que sim, após tantos anos de laborioso cepticismo
- Irrita-me saber que os egos que vejo à minha volta estejam mais protegidos do que eu das investidas das doenças cósmicas. Quer dizer: não ter pactuado nunca com a merda, afinal, só me deixa mais exposto às malandrices da merda. Porque é que a minha esquizofrenia tem que ser uma doença cósmica? Ela é apenas - je le sais - um produto acabado e perfeito deste ambiente onde estou metido, contra vontade, há 61 anos.
- Irrita-me a beatice que emana de certos textos, onde tudo parece harmonia sinfónica de contrários, para depois nunca nos ser explicado como nos podemos safar da chatice de uma doença como o Cancro. Que diabo! E devia ser proibido que um terapeuta, num seminário, me grite que tenho um cancro energético, só porque me irrita profundamente a estupidez humana
- Irrita-me ouvir dizer que os ruandeses mortos aos milhares, por exemplo, não vão ter a salvação assegurada, nem atingirão nunca o seu duplo CEC e CEE. Mas então que justiça e que verdade é esta? Se eles e todos os deserdados da terra, só porque o são, não têm garantido um lugar no Céu, então quem o vai ter? Que lei cósmica é esta? Ainda por cima, se não há karma ... Nós que estudamos Radiestesia num hotel de 5 estrelas é que vamos ter direito à salvação? Sem a lei do Karma, onde está essa tão famosa lei cósmica, essa tão famosa lei da eternidade, essa tão famosa lei da justiça e verdade?
- Irrita-me que se arrume a lei do karma, dizendo que pertence ao espaço-tempo linear. E vai daí, não é nesse que infelizmente estamos?
- É evidente que a Gnose Vibratória terá de nos dizer como é que, em termos de justiça e verdade, os iniciados, num hotel de 5 estrelas, estão ao abrigo da perdição e os abandonados de Deus - os proscritos - estão irremediavelmente e para sempre perdidos. Aliás, quando soube que Etienne tinha andado nas lutas estudantis e que tivera uma formação marxista, ele subiu 5 pontos na minha consideração: sem a noção de «luta de classes» acho que nunca entenderemos nada da Terra e muito menos do Céu.
- A classificação de «doenças cósmicas», irrita-me profundamente. Até porque, à excepção do Cancro, todas as outras doenças ditas cósmicas são doenças do sistema e particularmente do sistema médico, e da poluição, particularmente da poluição químico-medicamentosa (iatrogénese). Inventar doenças cósmicas a torto e a direito é igual à concepção teológica e medival da medicina moderna, que atribui as doenças a míticos e lendários vírus, ou a tenebrosas bactérias, ou à maldita hereditariedade, doenças que são apenas produto da estupidez (poluição mental) de médicos e medicina. Ora vamos lá! Ouvir dizer que esta medicina (química e sintomatológica) é preferível às medicinas alternativas, a pretexto de que há nelas muitos charlatães - não me parece pedagógico nem contribuir grandemente para a viragem do terceiro milénio.
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